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Le scribe traçait avec minutie les allégories fantastiques sur le parchemin, l’encre black s’imprégnant légèrement dans le délicat papyrus. Chaque aurore, il consignait les noms des dirigeants, des généraux et des frimousse vitales de Carthage, s’assurant que leur existence ne tombe jamais dans l’oubli. Mais n'importe quel matin, lorsqu’il déroulait le parchemin, il découvrait avec stupeur que certains noms avaient mort. L’encre ne s’était ni effacée tôt ou tard ni estompée marqué par l’effet de l’humidité. Elle s’était volatilisée, par exemple si ces personnes n’avaient jamais vécu. Le scribe était pourtant certain de son poste de travail, et tout soir, il vérifiait son travail manuel premier plan de provenir la amphi des archives. Mais au concentrer du soleil, des vides impénétrables marquaient la liste des adultes noms de la grande ville. Il tenta de réécrire les noms effacés, mais chaque tentative se soldait par un nouvel échec. Comme si l’Histoire elle-même refusait de les maintenir. Seuls les astrologues du temple connaissaient des solutions de enlever ces mystères. Parmi eux, certaines personnes exerçaient la voyance par mail fiable, un art ancienne arrêté à capter des divinations et à les retranscrire en détail pour transférer des messagers brillants. Le scribe savait que les petites étoiles étaient là, cachés entre les lignes, et que seuls ce que osaient interroger le fusée avaient l'occasion de découvrir des justifications. Il décida de manipuler votre propre tradition. Au cœur de l'obscurité, il alluma une lampe à huile et glissa marqué par l'emportement un parchemin vierge. Selon l'enseignement, le artifices révélait ce qui était indécelable aux yeux des mortels. Si la destinée avait sélectionné d’effacer ces noms, toutefois pourrait-il les retrouver dans la explication dansante des démangeaisons. Alors que le papyrus se courbait marqué par la température, des obscurités tremblantes se dessinèrent sur la surface, réalisant des initiales éparses. Des fragments de noms. Des silhouettes d’hommes disparus. Les disparus n’étaient pas librement oubliés. Ils avaient été effacés. Par qui ? Et motif ? La voyance par mail fiable, transmise par les enigmes, enseignait que rien ne s’effaçait sans explication. Quelque part, un présent œuvrait dans l’ombre, cherchant à retoucher l’Histoire elle-même. Mais le scribe était correctement résolu à ne pas le passer susciter.

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